D'autre comme celui que l'on a vu ici sont plus à la sauce moderne malgré leur touche grands ensemble cuivres et percussions. La place vivrait et sautait, une fiesta de danse de 3 heures.
P.S. Fêter le dernier jour d'une année et le premier du suivant, à l'étranger, sur une place public, seul avec son amour dans une foule elle aussi seul, c'est un rêve, une chose qu'on regarde à la télé en se disant qu'on participe de notre salon à cette étape de durée de l'humanité. S'y retrouver dans cette foule, sur une de ces place est surprenant de simplicité et c'est la même chose que de traverser une année devant son téléviseur sauf qu,ici c'est la musique, le clair de lune, les pétards et les feux d'artifices et la chaleur d,une main, d'un sourire.
Ce qui nous a surpris dans cette fiesta, 3 heures de danses endiablées comme seul les latinos savent en faire, c'est l'absence de policier, l'absence de gars ivre, l'absence de gueulard et de violence, la propreté de la place une fois les fêtards partis et ce calmement. Toute cette foule, mexicains et touristes confondus, tous égaux, indiens mayas métis et autres, en t-shirt et bermuda ou collet et bottes de fourrure, ce qui frappe, c'est le vivre et laissé vivre, cette discipline et ce respect sans contraintes ni cadres ni règles.
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